En partenariat avec McDonald's
Top 40 : les maillots cultes de l’Histoire de la Ligue 1 (de 40 à 31)

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Depuis 2002, de nombreuses équipes ont disputé la Ligue 1. Ca fait des centaines et des centaines de maillots différents. Voici, selon nous, les 40 plus légendaires de l'histoire de la L1. Un genre de Maxi Best Of, ouais.
Voici l’un des derniers maillots enfilés par l’AC Ajaccio en Ligue 1, reléguée à l’issue de cette saison-là (avant un rapide aller-retour en 2022-2023). Une tunique somme toute classique du club corse mais élégante, avec ses trois bandes verticales rouges, dont celle du centre se prolongeant autour du col, entrecoupée de liserés blancs. Pas de sponsor central en revanche, mais plutôt deux plus petits en honneur de la région corse, à l’emplacement habituel du blason et de l’équipementier, eux-mêmes placés au centre. Une tunique portée par Adrian Mutu dans notre championnat, ça marque forcément les esprits.
Oui, le maillot d’Istres n’est pas le plus beau de l’histoire de la Ligue 1, on le sait. Mais bien souvent, la beauté est dans le symbole, pas dans l’apparence. En 2004, quand le Istres Football Club glane sa (seule) promotion dans l’élite, c’est donc un vent de fraîcheur qui a soufflé sur l’Hexagone. Un vent saveur lavande, comme les couleurs de l’écurie, que Baliston – équipementier français aujourd’hui disparu – a décidé de mettre en avant sur son maillot.. Cette saison-là, avec Rafik Saîfi, Victor-Hugo Montaño, Florian Maurice, Brahim Thiam, Sébastien Pérez ou encore Ibrahima Bakayoko, Istres accrochera le nul face au PSG (deux fois) et à l’OM, mais finira tout de même dernier du classement. Pas mal pour un patelin de 44 000 habitants.
Personne n’a réellement compris où voulaient en venir les dirigeants d’Evian Thonon Gaillard dans leur choix de couleurs. La montagne placée au centre de la liquette ? D’accord, c’est pour les sources locales. Mais le reste alors ? Du rose et du bleu bien flashys, pour un rendu assez surprenant. Lors de la saison 2013-2014, c’est cependant un design plutôt épuré qu’a offert Kappa. Col blanc, montagnes bleues, et déchargé de sponsors, le maillot symbolise idéalement l’identité visuelle de l’ETG, qui a marqué une partie du début de la décennie 2010 en France. Live young.
Championne de Ligue 2, l’AJ Auxerre fêtait son retour au sommet du football national en étrennant un maillot sophistiqué. Blanc, il est décoré d’une bande diagonale en diamants bleus. Bon, on passera sur le placement des sponsors, pour ne garder que la beauté de la chose.
Comme quoi, on peut sortir des sentiers battus tout en respectant son code couleurs. Du noir et du rouge, en l’occurrence. Mais en ce milieu des années 2000, le Stade rennais se démarque ici par un dessin pour le moins improbable. Un sorte de grand cœur dessiné sur tout l’avant d’un maillot dont la marque, Airness, s’affiche comme un sponsor principal. Presque aussi beau que les premiers coups de patte de Yoann Gourcuff, qui connaît alors sa première saison complète dans l’élite.
Parmi les quatre maillots FC McDonald’s imaginés par McDonald’s et Kappa, voici sans doute le plus audacieux : un maillot rayé, dans les tons bordeaux et rose comme on en voit assez peu sur les terrains. À porter avec un jean brut, des sneakers blanches et une casquette vintage pour un look mi-terrain, mi-terrasse. Sinon, vous pouvez aller à fond dans le délire full rouge, rosé, bordeaux, hein, personne ne vous juge. Disponible ici.
Marier le rouge et le bleu quand on est pas le FC Barcelone est un exercice périlleux. Le SM Caen l’a pourtant bien réussi lors de la saison 2004-2005. Créé par Errea, marque italienne en vogue du début de siècle, le maillot caennais répondait idéalement aux basiques : des rayures fines, appuyées par des liserés bleu nuit que l’on retrouve également sur le short. De quoi donner un ensemble sur mesure, pour un club qui fêtait alors son retour en Ligue 1. Un maillot référence de la génération Cédric Hengbart, Jérémy Sorbon, Ronald Zubar, Sébastien Mazure, Yohan Gouffran et tous les autres.
Alerte classique : du rouge, du jaune et une volaille. Lors de la saison 2007-2008, Le Mans réalise la meilleure saison de son histoire, en se classant neuvième de Ligue 1. Une folie, pour les hommes de Rudi Garcia, emmenés par des joueurs exceptionnels tels que (De Melo, Gervinho, Grafite, Matsui, Sessegnon…). Et que dire du maillot. Pur produit de Kappa, avec un tissu moulant les abdos, la base rouge accueillait un énorme logo “Poulet Loué” aujourd’hui emblématique. On pleure effectivement sur ce poulet.
De 2004 à 2007, Umbro s’est distingué par un modèle devenu référence : la croix. Placé sur l’épaule, le symbole représentant la croix de Saint-Georges anglaise – pays d’origine de l’équipementier – apportait sa petite touche distinctive. Bingo pour l’Olympique lyonnais, alors en mode bulldozer en Ligue 1 (sur la route de ses sept titres consécutifs), qui s’est offert un sublime maillot extérieur entre 2005 et 2007, tout de rouge vif, accompagné de sa croix bleue et blanche. Ici, on milite pour le retour du rouge à l’OL.
Lille a été vernie lors de la saison 2019-2020 : beau maillot et quatrième de Ligue 1. Tout en dégradé, la tunique signée New Balance a su mélanger le tricolore lillois, aidé par des éclats semblables à un jet de pinceau (ou à une tempête de neige). José Fonte, Jonathan Bamba, Renato Sanches ou Victor Osimhen le portaient si bien.
Uhlsport est avant tout un équipementier connu pour sa fabrication de gants de gardien. Mais la firme allemande a longtemps sévi en France question maillots. Le Sporting Club de Bastia en a été l’un des bénéficiaires lors de la saison 2004-2005. Saison de relégation, malheureusement. Avec deux nuances de bleu bien visibles, la liquette gagne surtout son originalité par la grosse tête de maure placée en son centre. Histoire de rappeler que Bastia, c’est bien en Corse.
➡️ Suite du classement du numéro 30 au numéro 21 le vendredi 5 septembre.
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